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A propos de djaphil.fr

Djaphil.fr est un site consacré à la philosophie. Vous pourrez plus particulièrement trouver sur les pages de ce site l’intégralité de mon mémoire de maîtrise. Celui-ci a été consacré essentiellement à l’oeuvre majeure de Hans Jonas : Le Principe responsabilité.

Djaphil.fr  diffuse régulièrement des analyses de sujets philosophiques (par exemple : « Peut-on tout démontrer ? » ) type CAPES / terminal.

Djaphil.fr diffuser également des analyses de grands textes philosophiques, essayant également dès que possible de mettre en avant certaines oeuvres moins populaires.

Si le site vous a plu, n’hésitez pas à en parler autour de vous et à revenir découvrir les différents articles publiés.

Réagissez

 

 
  1. Alex

    4 mars 2012 à 1:29

    Bonjour,

    Les idées de Hans Jonas m’intéressent beaucoup.
    C’est pourquoi mon travail (cinématographique) prend comme sujet la civilisation technologique elle-même et questionne la représentation de l’homme qui en découle.
    Je serais intéressé d’en parler avec vous.
    Cordialement,
    Alex

     
  2. Yves Dupeux

    2 novembre 2013 à 0:19

    Vous vous faites plaisir en publiant sur internet des « analyses de sujets philosophiques » « type CAPES/terminale ». Soit. Mais je viens de découvrir ce que vous avez écrit sur Hume, en cherchant à vérifier ce qui a été repris, sans distance, par un élève de terminale.
    Merci de faire ce travail pour les élèves. J’espère tout de même que vous finirez par tourner le dos à de si classiques sujets et que vous laisserez les élèves penser par eux-mêmes.

     
  3. admin

    2 novembre 2013 à 18:46

    Bonjour Yves,

    Assez paradoxal, vous en conviendrez, de me reprochez de publier des analyses de sujets « classiques » et de me reprocher le fait que VOS élèves ne pensent pas par eux-mêmes (par ailleurs : est-ce vraiment nouveau… ?).

    Une question : pourquoi proposer de tels sujets à vos élèves si vous craignez que certains d’entres eux aillent chercher des informations par eux-mêmes (certes souvent mal « digérées ») ?

    Si j’étais à votre place, je rebondirais par l’analyse de « Qu’est-ce que les Lumières » de Kant pour faire la morale à vos élèves.

    Cdt,

    Pierre

     
  4. Boccon-Gibod

    20 janvier 2014 à 11:11

    Cher monsieur,

    j’abonde dans le sens de M. Dupeux ci-dessus, puisqu’il m’est arrivé la même mésaventure, en pire peut-être (l’intégralité du devoir recopié d’après votre texte sur la démonstration).

    J’avoue en effet que je ne comprends pas bien à quoi peuvent servir des sujets développés sinon à se faire copier-coller dans le cadre des devoirs que nous demandons à nos élèves. Il me paraît un peu facile de renvoyer la responsabilité aux collègues. Au moins, si vous considérez qu’il peut être utile pédagogiquement de donner de tels exemples de dissertations (ce dont personnellement je doute assez), essayez d’empêcher la fonction « copier » sur le site, c’est techniquement possible et cela pourrait limiter les dégâts.

    Cordialement,

    T. BG.

     
  5. admin

    21 janvier 2014 à 0:07

    Je suis étonné par vos remarques.

    « J’avoue en effet que je ne comprends pas bien à quoi peuvent servir des sujets développés sinon à se faire copier-coller dans le cadre des devoirs que nous demandons à nos élèves ». Je vous conseille de vous battre alors également contre les annales !!!! Vous conviendrez aisément que votre argument n’est pas recevable.

    Je comprends bien évidemment votre écoeurement ou vos déceptions, mais ne vous trompez pas « d’ennemis », ou plutôt de champ de bataille : éduquez vos élèves !

    Un élève « intelligent » dans le domaine des nouvelles technologies saura toujours passer outre les fonctions empêchant le copier-coller.

    J’espère que vous saurez intéresser vos élèves et leur faire comprendre l’intérêt de la philosophie, plus que jamais nécessaire dans une société ultra-libérale et enfermée dans le court terme et l’assouvissement de pulsions animales…

    Cdt,

    PFA

     
  6. David Jourand

    21 janvier 2014 à 23:21

    J’avoue être sidéré par les remarques formulées ! Faut-il interdire (l’auto-censure que vous préconisez est une forme douce d’interdiction) la diffusion de la culture ? Tout le monde n’a pas eu la chance de suivre des cours de philo en terminale. Faut-il leur interdire de pouvoir s’instruire sur internet ? N’est-il pas préférable de lire ce genre de blog plutôt que toutes les idioties que l’on peut voir partout ailleurs ?
    Si vos élèves préfèrent tricher plutôt que de réfléchir par eux-même, c’est peut-être l’occasion de les faire réfléchir sur ce sujet…
    Quant à empêcher le copier/coller, c’est une rigolade ! Ctrl+U sur Chrome ou Firefox ou encore enregistrer la page et l’ouvrir dans un éditeur de texte…

     
  7. David JOURAND

    6 mars 2014 à 19:23

    Pour les censeurs de la discussion, un texte à réfléchir : http://www.scilogs.fr/vivelaconnaissance/anti-plagiat-soyons-plus-positifs-sil-vous-plait/
    Avec la conclusion qui va bien :  » je vais prendre la peine d’inventer des « devoirs », « sujets d’examen », etc. qui ne conduisent pas à la question du plagiat. Au fond, un examen qui conduit à cette question est-il vraiment un bon examen ? »

     
  8. BAZIN

    27 mars 2014 à 15:26

    Bonjour,
    une version française des « Philosophical Essay » vient de paraitre chez les prestigieuses édition parisienne VRIN.
    Il s’agit d’un des livres les plus importants de l’oeuvre de Hans Jonas et paradoxalement le plus confidentiel.
    Seriez-vous intéressé pour recevoir un exemplaire et en faire la promotion dans votre site?
    Cordialement.

     
  9. Pierre

    28 mars 2014 à 0:43

    Bonsoir, je suis effectivement tres interessé par votre proposition et vous contacte directement par email. Cdt, Pierre.

     
  10. Sophie Kotanyi

    26 décembre 2014 à 11:47

    Merci pour vos textes intéressants. Ce serrait extrêmement utile qu’ils soient complétés par:

    1) la référence permettant de vous citer (avec date et si possible auteur) (dans le cas de hans-Jonas, les fondement biologiques de l’éthique de la responsabilité…je suppose que cela fut formulé par CLAIR…?
    2) Vous êtes probablement conscient qu’une liste de référence serrait évidement idéale…mais même sans cela, vos textes sont fort intéressants.

    Bonne continuation. Bonne année et Bien à vous
    Sophie Kotanyi

     
  11. admin

    26 décembre 2014 à 13:37

    Bonjour Sophie,

    Merci tout d’abord pour votre commentaire. Vous trouverez mon nom sur le PDF de mon mémoire. M. Clair était simplement le directeur de mon mémoire de maîtrise et n’est en rien responsable de mes écrits (ses oeuvres sont d’un tout autre niveau !).
    Mon memoire date de 2002 et il comporte (version PDF) toute la bibliographie utilisée (Hans Jonas, autres philosophes, ainsi que commentateurs).

    Pour les autres textes, n’hesitez pas à me questionner si besoin.

    Excellentes fêtes de fin d’année.

    Pierre.

     
  12. Michel Troublé

    22 septembre 2015 à 10:58

    Bonjour,

    C’est par hasard que j’ai découvert votre site en cherchant les personnes qui s’intéressent à la pensée d’Hans Jonas. Votre site est très bien construit, vos analyses fortes intéressantes. Dommage que vous n’ayez pas eu l’occasion de commenter ‘Puissance ou impuissance de la subjectivité’ du même Hans Jonas.
    La problématique de la subjectivité est en effet, paradoxalement, au cœur de mes préoccupations de chercheur en robotique et en intelligence artificielle. L’autonomie des robots est une question majeure en matière d’automatisme. Il ne s’agit pas moins en effet que de créer des structures physico-chimiques qui seraient artificiellement vivantes et, à ce titre, dotées de capacités semblables à celles des êtres vivants en matière de cognition, de décision des actions à entreprendre en réponse aux stimulations utiles ou nuisibles induites par les objets du monde que les structures perçoivent. Il se trouve alors que la compréhension des mécanismes de décision que devraient posséder les robots pour être autonomes, artificiellement vivants, conduit à les supposer nécessairement munis d’une subjectivité opérante en l’absence de laquelle ils ne seraient que des automates aux actions stéréotypées. Cela pourrait être ainsi une réponse à la question principielle que se pose Hans Jonas dans ‘Puissance ou impuissance de la subjectivité’.
    Les techniques de l’intelligence artificielle (réseau de neurones, logique floue, algorithmes génétiques,..) permettent d’effectuer une approche formelle de ces mécanismes de décisions. L’intérêt de cette approche du vivant par le biais de la robotique autonome, est qu’elle permet d’effectuer une analyse fonctionnelle de la cognition à son niveau le plus élémentaire et de trouver, par là même, l’origine de la pensée dont les êtres humains sont munis.
    Ainsi, pour que soit assurée la pérennité d’un robot autonome son analyse fonctionnelle montre que pour chaque objet du monde, aux propriétés infiniment variées, que celui-ci perçoit à l’aide de ses capteurs, il faudrait que son contrôleur (son ‘cerveau’) sache choisir adéquatement les actions à accomplir. Par exemple, un robot d’exploration sensible à toute élévation de température qui pourrait le détruire devrait impérativement effectuer les actions suivantes : fuir de la lave en fusion, fuir un feu de forêt, fuir une nappe de pétrole enflammée,… Le contrôleur d’un robot autonome (son ‘cerveau’), devrait donc être capable de créer des catégories cohérentes d’actions, en l’occurrence {fuir tous les objets chauds}.
    Mais il apparaît que cette capacité de créer des catégories cohérentes d’actions ou concepts est physiquement irréalisable eu égard la théorie formelle de la ‘reconnaissance des formes’ qui implique que les objets du monde perçus par un système sont physiquement indiscernables par sa partie opérative ou actionneur ; c’est le ‘principe d’indiscernabilité’. Comment mettre en effet dans la même catégorie ‘fuir’ des objets chauds comme de la lave en fusion, un feu de forêt, une nappe de pétrole enflammée, alors que ceux-ci sont strictement indiscernables de tout autre objet, froid par exemple.
    Empiriquement, on sait cependant qu’un être humain peut aisément, pour assurer sa durabilité, faire la distinction entre de la lave en fusion et l’eau fraîche d’un ruisseau. Et pourtant, le robot et l’être humain ne sont que des systèmes physiques (ou physico-chimiques) qui, théoriquement, ne se distinguent que par leur plus ou moins grande complexité, et qu’à ce titre ils sont soumis l’un et l’autre au ‘principe d’indiscernabilité’ qui interdit que par des moyens physiques (mesures) un sujet puisse discerner l’eau fraîche d’un ruisseau de la lave en fusion d’un volcan.
    Il existe une réponse possible, expérimentale, à cette situation paradoxale : le sujet est un système physico-chimique qui est spécifiquement doté de ‘qualités sensibles’ ou ‘sentiences’ munies de différents ‘qualia’ (plaisir, douleur, couleur, son,…). L’expérience montre en effet que seule la ‘qualité sensible’ a cette propriété singulière, eu égard le ‘principe d’indiscernabilité’, de discriminer des objets qui sont physiquement indiscernables parce que cela fait essentiellement mal ou plaisir au sujet suivant l’état actuel ou mémorisé dans son système nerveux de sa structure physique. Ainsi, celui qui a une rage de dents insoutenable va rapidement aller consulter un dentiste et non pas un fleuriste, deux solutions techniques qui sont pourtant physiquement indiscernables. La qualité sensible n’est pas un épiphénomène, un phénomène accessoire qui en l’occurrence aurait gratuitement accompagné l’irritation mécanique de la dent du sujet.
    Cette modélisation d’une cognition où le choix des actions produites par un sujet serait sous la tutelle exclusive de qualités sensibles, est en accord avec les résultats paradoxaux des expériences du neurobiologiste Benjamin Libet : «…la conscience [l’opérateur sentience] peut mettre son ‘veto’ aux solutions présentées (unconscious brain activity) qui ont été préalablement élaborées quelque 500 millisecondes plutôt par le cerveau-ordinateur ».
    Les qualités sensibles ou sentiences seraient donc empiriquement opératives bien qu’étant, paradoxalement, formellement irréductibles à toute interaction physico-chimique neuronale.
    Sans violer cette loi physique fondamentale entre toutes qu’est le ‘principe de conservation de l’énergie’, les interactions présumées entre des opérateurs sentiences et des structures physico-chimiques neuronales du cerveau d’un sujet pourraient se résoudre au niveau quantique par la réduction des ‘fonctions d’onde’ qui se sont développées au sein des structures neuronales du cerveau-machine. Dans le processus de réduction, ou transition quantique, il y a en effet une totale conservation de l’impulsion-énergie. La capacité opérative de la qualité sensible, irréductible à toute interaction physico-chimique neuronale, serait donc licite.
    Le processus de réduction des fonctions d’ondes qui n’implique aucun échange d’énergie, autoriserait donc une causalité autre que celle qui résulte des nécessitées phénoménales qui conduisent à des interactions physiques stéréotypées.
    À la question d’Hans Jonas ‘ Pouvons-nous faire confiance à notre subjectivité lorsqu’elle prétend guider notre comportement ? La nécessité phénoménale laisse-t-elle suffisamment de jeu pour que s’insinue en elle une causalité d’un autre ordre ?’, la réponse serait oui et d’une façon encore plus radicale. La qualité sensible ou sentience qui fonde cette subjectivité serait en effet un donné fondamental de la nature, elle serait un opérateur essentiel à la genèse des structures vivantes et des processus cognitifs qui y sont associés.
    Nos actions résultant de pensées qui sont essentiellement fondées sur l’association d’objets mentaux qui doivent leur opérabilité spécifique aux choix effectués par des qualités sensibles munies de leur qualia, seraient de ce fait fondamentalement irrationnelles. En ce sens que les actions qui seraient actualisées parmi toutes celles possibles issues d’interactions physiques quant à elles obligées, ne résulteraient en aucun cas d’opérations logiques fondées sur les lois de la physique. Contrairement à la thèse que soutenait l’économiste Herbert Simon, il n’y aurait même pas de « rationalité limité », nos actions seraient toutes irrationnelles. Bien qu’irrationnelles, il suffirait que d’une façon statistique ces actions conduisent bon an, mal an, à assurer la vie, ce qui est historiquement observé.
    Cordialement
    Michel Troublé

     
  13. admin

    22 septembre 2015 à 19:29

    Bonsoir Michel,

    C’est un des nombreux textes que je n’ai effectivement pas eu le temps d’étudier.

    Merci en tous cas pour votre message et surtout pour votre contribution sur la subjectivité, qui est effectivement un sujet clef dans l’approche de l’IA.

    Si cela vous intéresse, je peux vous proposer de publier un billet approfondi sur ce sujet sur le présent blog (signé de votre nom) si cela vous intéresse.

    Philosophiquement,

    Pierre

     
  14. Michel Troublé

    23 septembre 2015 à 11:19

    .Bonjour Pierre,

    Oui, je suis très intéressé par votre proposition. De l’analyse de la nature de la subjectivité, surgit en effet un problème épistémologique majeur en matière de prise de décisions des actions à accomplir qui pourrait conduire à une rupture de paradigme dans la façon de penser le vivant et de la cognition dont il est muni.
    Cordialement
    Michel

     
  15. Troublé Michel

    25 septembre 2015 à 18:18

    Bonsoir Pierre,

    Comme je vous le disais dans mon précédent message, cela m’intéresse beaucoup de publier dans votre blog un billet approfondi sur la subjectivité. Mais faut-il que ce texte soit lié aux seules interrogations de Hans Jonas ?
    Cordialement,
    Michel

     
  16. Troublé Michel

    30 septembre 2015 à 11:50

    Bonjour Pierre,

    J’ai quelques soucis d’utilisation de votre site. En effet, lorsque je change de machine (PC ‘tour’ ou PC ‘portable’), les messages qui s’affichent dans votre rubrique « à propos de… » ne sont pas les mêmes !!
    Mon dernier message du 25 septembre 2015 à 18:18 « …. cela m’intéresse beaucoup de publier dans votre blog un billet approfondi sur la subjectivité. Mais faut-il que ce texte soit lié aux seules interrogations de Hans Jonas » est toujours ainsi ‘en attente de modération’ lorsque j’utilise le PC tour, alors qu’il est complètement absent avec le PC portable. De sorte que je n’ai toujours pas reçu votre réponse.
    Cordialement
    MT

     
  17. admin

    1 octobre 2015 à 20:53

    Bonsoir Michel,
    je vous ai envoyé un message par email directement pour vous répondre sur ce sujet.

    Bien cordialement,

    Pierre

     
  18. Troublé Michel

    2 octobre 2015 à 18:02

    Bonjour Pierre,

    Nous sommes le 2 octobre, et je n’ai pas encore reçu votre message. L’aurais-je mis à la corbeille par inadvertance ?
    Bien cordialement.
    MIchel

     
  19. admin

    2 octobre 2015 à 18:05

    Bonjour Michel,

    Je viens de vous le renvoyer à nouveau ce jour. S’il ne vous parvient pas, c’est que l’email que vous avez renseigné pour commenter sur ce site est erroné.

    Cdt,

    Pierre